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ROWSON - Chess for Zebras

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Derrière un titre puissamment énigmatique, voici le livre le plus attendu de ce début d'année (bon, avec le Kasparov tome 5, quand mêm

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Derrière un titre puissamment énigmatique, voici le livre le plus attendu de ce début d'année (bon, avec le Kasparov tome 5, quand même...). C'est que l'auteur de ce copieux volume s'est précédemment signalé en commettant deux des bouquins les plus originaux et intelligents de ces dernières années : Understanding the Grünfeld et The Seven Deadly Chess Sins. Il s'attaque dans celui-ci à une foule de questions aux confins de la technique et de la psychologie, certaines déjà abordées dans TSDCS (abréviation de l’auteur, à ranger à côté de SOMCS dans votre répertoire d’acronymes), d’autres plus neuves. Chemin faisant, il nous détaille son expérience de joueur et les recettes qui l’ont aidé à progresser (en quoi le livre finit par rappeler un peu le Road to Chess Improvement de Yermolinsky, en moins pragmatique et plus intellectuel). Une dernière partie (qui explique partiellement le titre du livre – il y a au moins deux autres raisons – et totalement un sous-titre stupide évidemment non dû à l’auteur) a été inspirée par les deux récents ouvrages d’Andras Adorjan (Black is OK...), dans lesquels le GMI hongrois défendait son idée fétiche : l’égalité des chances (sur l’échiquier...) entre blancs et noirs. Au-delà de l’intérêt (souvent grand) des idées remuées tout au long du livre, ce sont l’amour contagieux de l’auteur pour notre jeu favori et son bonheur d’écriture qui emportent une adhésion sans réserves, et permettent d’avancer une certitude : si le profit retiré d’un tel livre variera beaucoup d’un joueur à un autre (beaucoup plus grand pour les forts joueurs, sans aucun doute), personne ne s'ennuiera en le lisant. Tenez, pour vous mettre en bouche, voici le titre du premier chapitre : ""Que faire quand vous pensez qu'il y a un trou dans votre seau ?"" Et la section d'où il est extrait s'intitule quant à elle ""Améliorer sa capacité à s'améliorer""... Ce qui s’appelle savoir poser les questions essentielles, non ?