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AGUR - Bobby Fischer - Une étude de son approche des échecs
Référence : 102890
22,40 €
TTC
AGUR - Bobby Fischer - Une étude de son approche des échecs. Précisons d'emblée qu'il ne s’agit pas là d’un recueil de parties de Fischer (les parties complètes ne sont données qu’en annexe à la fin de l’ouvrage). Le propos de l’auteur est de disséquer – disons même plus crûment de décortiquer – le style du génie américain, à partir de nombreux extraits de ses parties. Le résultat est cet impressionnant opus, parfois discutable, souvent fascinant, et bien plus éclairant au final que les commentaires de Fischer lui-même. On peut seulement regretter que le texte ait été passablement obscurci par une traduction balourde - les anglophones préféreront sans doute l'édition originale.
AGUR - Bobby Fischer - Une étude de son approche des échecs. Précisons d'emblée qu'il ne s’agit pas là d’un recueil de parties de Fischer (les parties complètes ne sont données qu’en annexe à la fin de l’ouvrage). Le propos de l’auteur est de disséquer – disons même plus crûment de décortiquer – le style du génie américain, à partir de nombreux extraits de ses parties. Le résultat est cet impressionnant opus, parfois discutable, souvent fascinant, et bien plus éclairant au final que les commentaires de Fischer lui-même. On peut seulement regretter que le texte ait été passablement obscurci par une traduction balourde - les anglophones préféreront sans doute l'édition originale.
102890
Fiche technique
- Auteur :
- AGUR
- Éditeur :
- GRASSET (1994)
AGUR - Bobby Fischer - Une étude de son approche des échecs. Précisons d'emblée qu'il ne s’agit pas là d’un recueil de parties de Fischer (les parties complètes ne sont données qu’en annexe à la fin de l’ouvrage). Le propos de l’auteur est de disséquer – disons même plus crûment de décortiquer – le style du génie américain, à partir de nombreux extraits de ses parties. Le résultat est cet impressionnant opus, parfois discutable, souvent fascinant, et bien plus éclairant au final que les commentaires de Fischer lui-même. On peut seulement regretter que le texte ait été passablement obscurci par une traduction balourde - les anglophones préféreront sans doute l'édition originale.