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Où il se confirme que les éditeurs raclent un peu les fonds de tiroir… Au moins les auteurs ont-ils l’air de vraiment croire à leur produit – parce que 300 pages sur la Ponziani, mazette ! Inutile de préciser que l’essentiel du bouquin est constitué d’analyses originales (on trouve juste 23 parties complètes au début, échelonnées de 1846 à 2005…) De quoi se convaincre en somme que la Ponziani, malgré sa réputation, n’est pas un début pour les nouilles.
Où il se confirme que les éditeurs raclent un peu les fonds de tiroir… Au moins les auteurs ont-ils l’air de vraiment croire à leur produit – parce que 300 pages sur la Ponziani, mazette ! Inutile de préciser que l’essentiel du bouquin est constitué d’analyses originales (on trouve juste 23 parties complètes au début, échelonnées de 1846 à 2005…) De quoi se convaincre en somme que la Ponziani, malgré sa réputation, n’est pas un début pour les nouilles.